Un brouillard épais est tombé
soudainement avec la nuit sur Baiona.
Il est temps d'aller se coucher, demain
j'ai une soixantaine de milles, je pars tôt.
Au matin, il reste une brume qui
enveloppe les montagnes, avec encore peu de vent … moteur
Puis le vent se lèvera en milieu de
journée, envoi du spi … que je garde 20 minutes pas plus, puis il
tourne trop ouest … affalage du spi...travers, sous génois.
Parfois il faut faire attention, car
qui s'y frotte …
… S'y pique !
Puis la côte s'aplatit, les montagnes
s'éloignent, ça devient rectiligne, plat avec son trait de plage
sans fin.
Non, ce n'est pas La Baule ni Les
Sables d'Olonne , c'est Povoa Do Varzim.
Je vais m'arrêter là, sur cette côte
rectiligne il n'y a guère de solutions et le port est bien protégé,
le soir ça se met à souffler pas mal et toute la journée de jeudi
aussi..
Le jeudi, donc, je prends le métro
pour Porto qui n'est pas très loin et qui mérite le détour.
Joli, Porto, mais alors une foule de
touristes !… mais joli !
Pas de doute on est bien au Portugal
Un certain charme sur les quais du
Fleuve Douro
Ou dans les petites ruelles
pittoresques
Z'ont du boulot, Morais et Soares …
La suite … je pense que je vais faire
une grande descente pour me rapprocher de Lisbonne, c'est le vent qui fera la décision.
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